Takana à propos de son histoire avec Djanii: « Moi, je n’ai rien contre qui que ce soit »
Le raggae man Takana Zion ne cache pas son affection envers ses confrères. Il pense que les artistes doivent se soutenir pour avoir plus de forces.
Face à la presse le samedi, 9 avril 2022, Mangana a prouvé dans sa déclaration, qu’il n’aime pas être en conflit avec ses frères du micro. Suite à la question d’un journaliste qui a demandé, si la hache de guerre est enterrée entre Djanii et Takana, l’enfant de Coyah, avant d’extériorisé sa volonté d’être en paix avec tous les artistes, a fustigé le comportement du journaliste qui a prononcé le nom d’un autre artiste.
« Je suis ami avec tous les artistes. Ceux qui m’aiment, ceux qui ne m’aiment pas. Moi, j’aime tout le monde. On ne peut pas se mettre à la place de Dieu pour juger les gens. Mais ce qui est dommage, quand on vient pour faire une conférence pour parler d’un prix qu’un artiste a gagné, ce n’est pas bien de mentionner le nom d’un autre artiste. Ça, c’est juste de la politique. » Déclare Takana.
Le patron de Black Mafia a poursuivi son intervention pour satisfaire la curiosité du public.
« Moi, je n’ai rien contre qui que ce soit. Contrairement à ce qui tu viens de dire, je n’ai jamais répondu à un artiste qui me critique. Parce que moi, je sais, ce qui est la valeur d’un métier. On dit l’ordre des avocats, l’ordre des artistes. Les artistes, nous sommes un ordre. Nous tous, nous pratiquons le même métier. Si nous ne nous aimons pas, nous ne pouvons pas aller de l’avant. Je n’ai pas le temps de venir m’asseoir à la place publique. Et de dire tel artiste est comme ci, tel artiste est comme ça. Quand je quitte Conakry, je viens à Coyah, je suis dans ma brume. Je n’ai pas le temps d’analyser à propos de toi. Tout ce que je peux faire, c’est de prier pour toi. Et quand tu organises un événement, c’est de venir modestement assister à ton événement pour te donner une force ou au moins partager ta publication sur ma page. Mais je n’ai pas le temps, d’analyser ce qu’un artiste fait. » A conclu Mashuigui.
La rédaction
