La 2e édition du Salon de la Bijouterie Guinéenne (SBG) : une célébration de l’identité culturelle guinéenne
La capitale guinéenne s’apprête à accueillir la saison 2 du Salon de la Bijouterie Guinéenne (SBG), un événement qui promet de promouvoir le savoir-faire local et l’identité culturelle guinéenne. Les organisateurs ont animé une conférence de presse ce samedi 29 novembre pour lancer officiellement cette nouvelle édition et présenter l’état d’avancement des préparatifs.
Placée sous le thème « Défis et avenir de la bijouterie guinéenne pour une identité socio-culturelle », la 2e édition du SBG se tiendra les 5, 6 et 7 décembre à l’hôtel Kaloum. Organisé par Univers Design Pro, le salon ambitionne de rassembler des exposants, des professionnels et des amateurs de bijoux pour célébrer l’art et la créativité guinéenne.
Deux pays sont invités d’honneur cette année : le Mali et le Sénégal, auxquels s’ajoutent plusieurs artisans venus de l’intérieur du pays. Le commissaire général du SBG, Lancinet Cissé, a expliqué que l’accès sur invitation uniquement répond à des impératifs de sécurité, afin de protéger les exposants et les bijoux de grande valeur.
M. Cissé se félicite des acquis de la première édition, qui a posé des bases solides pour la bijouterie guinéenne. « La première édition a permis aux bijoutiers de présenter leur travail, de porter leurs plaidoyers et de nouer des contacts. Cette année, nous revenons plus forts et plus ambitieux, pour offrir une vitrine encore plus large, à l’échelle internationale », a-t-il déclaré.
Parmi les nouveautés annoncées, plusieurs distinctions seront décernées durant les trois jours, notamment le meilleur vendeur et la créativité en contenu local. Le programme prévoit également deux panels, dont l’un portera sur le thème central de l’édition, consacré à l’avenir de la bijouterie guinéenne, et l’autre sur le rôle du sport dans le bien-être.
Le SBG est un événement à ne pas manquer pour tous les amateurs de bijoux et de culture guinéenne. Il offre une occasion unique de découvrir les talents locaux, de nouer des contacts et de célébrer l’identité culturelle guinéenne.
La rédaction
